Dans des reportages sur Hawaï, vous avez déjà peut-être vu un ukulélé ou du moins entendre le son de cet instrument. Il s’agit d’un instrument à cordes pincées traditionnel hawaïen, mais il n’y a pas que les orchestres sur ces terres d’origines qui l’apprécient.On peut l’entendre dans certaines compositions de jazz.

« Ukulélé », pourquoi ce nom ?

« Ukulélé », c’est un terme qui évoque l’exotisme. Si on se penche sur l’agrégation des mots hawaïens, on a une composition de deux mots « uku » qui signifie « puce » et « « élé » qui veut dire « sauteuse ». Oui, vous avez compris, on parle bien de la puce du chat qui est arrivé sur les terres hawaïennes un peu plus tôt que l’instrument. La théorie qui est la plus plausible sur l’explication de cette appellation est celle tirée de la déformation de l’agrégation où on a « uké » et « élé » qui désignent respectivement « gratter » et « frapper ». C’est ce que fait plus le joueur de cet instrument. L’ukulélé arrive sur les terres hawaïennes grâce aux immigrants portugais en 1879. Les légendes racontent que ce sont Manuel Nunes, José do Espirito Santo et Augusto Dias, trois ébénistes qui avaient des connaissances en lutherie qui avaient emporté avec eux leurs instruments qui deviendront plus tard les ukulélés.

Les différents types d’ukulélé

Si vous ne vous connaissez pas vraiment en musique, pour vous, tous les ukulélés se ressemblent, ce qui n’est pas le cas. On peut classer ces instruments en quatre catégories selon leur taille. Le plus petit est le soprano, celui qui suit est le concert et le ténor et le plus grand, c’est le baryton. Avec le soprano, on ne joue pas beaucoup dans la précision. Les concerts et les ténors sont apparus aux Etats-Unis dans les années 20 et c’est dans les 1950 que les barytons voient le jour.

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